Jean-Claude Bouvarel - Gaulliste depuis toujours
D’après André Malraux, je cite : "Certains hommes ont cette part divine de trouver au fond d’eux-mêmes, pour nous en faire présent, ce qui nous délivre de l’espace, du temps, de la mort. Cette "part divine" est une intuition fulgurante, une "vista" qui les projette très loin devant le commun des mortels ?"... De Gaulle avait cette part divine au fond de lui-même. Et, il ajoute... "Aux yeux des mouvements de la Résistance, les dirigeants des banques et de l’industrie ont démontré depuis 1940 leur absence de patriotisme..."
De Gaulle et Malraux démodés ?
Non... Christine Clerc écrit : "Le jour où, bousculés par la mondialisation et pris d’angoisse devant la montée de nouvelles superpuissances et de nouveaux totalitarismes, nous éprouverons à nouveau le besoin d’une "mise en perspective" de l’Histoire et nous interrogerons sur le destin de la France et de l’humanité. Quarante ans après Mai 1968, nous nous tournerons alors vers ces deux "chevaliers". Car leur amitié légendaire a laissé dans nos oreilles une musique à nous faire chavirer ; dans notre ciel une trace poétique fulgurante ; et dans nos coeurs une espérance tenace : voir un jour le retour des "valeurs de l’Esprit". (Extraits du nouveau livre de Christine Clerc "De Gaulle - Malraux, une histoire d’amour" Editions NiL, Octobre 2008)
A présent, nous devons méditer cette maxime : "De Gaulle n’est pas seulement qu’une légende mais quelque chose de bien plus rare : Une part de la conscience que nous avons de nous-mêmes".
Seul Nicolas Dupont-Aignan, incarne aujourd’hui ces valeurs de l’Esprit pour... "Une certaine idée de la France" !